Le puit canadien
Tout d'abord je ne suis pas un professionnel du puit canadien, et je suis preneur de tout bon conseil.
J'ai trouvé un bon site qui explique le sujet :
http://www.herzog.nom.fr/html/index.php
Donc le principe est de réchauffer l’air aspiré à l’extérieur de la maison en le faisant circuler sous terre sur une quarantaine de mètres.
En effet, une VMC classique, en aspirant l’air chaud de l’intérieur pour le rejeter à l’extérieur, fait entrer de l’air froid dans la maison.
Ici l’air passe sous terre, il est « réchauffé » de quelques degrés (voir super site technique ci-dessus), avant d’être insufflé dans la maison. En plein été, l’air chaud de l’extérieur est rafraîchi avant d’être envoyé dans la maison.
Nous allons associer à ce système une VMC double flux dont le principe est le suivant : On aspire l’air chaud de la maison qui à l’intérieur de la VMC double flux, réchauffe l’air frais aspiré à l’extérieur.
Le couplage des deux équipements devrait nous assurer un rendement sympathique.
Je souhaiterai toutefois y ajouter un peu de technologie.
Parfois, une après midi d’hiver, l’air extérieur peut être plus chaud que la terre. Si on pouvait comparer la température de l’air issu du puit canadien avec l’air extérieur, on pourrait choisir le plus chaud des deux. Donc si j’ajoutais un bypass permettant de choisir l’air qu’on aspire … j’améliore le rendement.
De plus en été, il ne me parait pas raisonnable de réchauffer dans la VMC double flux l’air qu’on a rafraîchit dans le puit canadien. Là encore, il serait souhaitable de bypasser la VMC double flux si on souhaite rafraîchir.
Je vais donc mettre trois capteurs de température (sortie puit canadien, air extérieur, et air intérieur), et une consigne de température.
Si la température intérieure est inférieure à la consigne (il faut réchauffer) alors on active le double flux de la VMC, et on aspire l’air le plus chaud soit du puit canadien, soit de l’extérieur.
Si la température intérieure est supérieure à la consigne (il faut rafraîchir) alors on bypass le double flux de la VMC, et on aspire l’air le plus frais.
La question reste posée sur la consigne. Si c’est la même que celle du chauffage, il peut y avoir PB si par exemple le thermostat local du chauffage électrique est modifiée et si la consigne est légèrement dépassé, le système VMC va rafraîchir alors qu’on est en période de chauffe… J’essayerai sûrement de placer la consigne VMC quelques degrés plus haut que la chauffe traditionnelle de 19° pour par exemple commencer le rafraîchissement à partir de 22/23°…
On verra …
J'ai trouvé un bon site qui explique le sujet :
http://www.herzog.nom.fr/html/index.php
Donc le principe est de réchauffer l’air aspiré à l’extérieur de la maison en le faisant circuler sous terre sur une quarantaine de mètres.
En effet, une VMC classique, en aspirant l’air chaud de l’intérieur pour le rejeter à l’extérieur, fait entrer de l’air froid dans la maison.
Ici l’air passe sous terre, il est « réchauffé » de quelques degrés (voir super site technique ci-dessus), avant d’être insufflé dans la maison. En plein été, l’air chaud de l’extérieur est rafraîchi avant d’être envoyé dans la maison.
Nous allons associer à ce système une VMC double flux dont le principe est le suivant : On aspire l’air chaud de la maison qui à l’intérieur de la VMC double flux, réchauffe l’air frais aspiré à l’extérieur.
Le couplage des deux équipements devrait nous assurer un rendement sympathique.
Je souhaiterai toutefois y ajouter un peu de technologie.
Parfois, une après midi d’hiver, l’air extérieur peut être plus chaud que la terre. Si on pouvait comparer la température de l’air issu du puit canadien avec l’air extérieur, on pourrait choisir le plus chaud des deux. Donc si j’ajoutais un bypass permettant de choisir l’air qu’on aspire … j’améliore le rendement.
De plus en été, il ne me parait pas raisonnable de réchauffer dans la VMC double flux l’air qu’on a rafraîchit dans le puit canadien. Là encore, il serait souhaitable de bypasser la VMC double flux si on souhaite rafraîchir.
Je vais donc mettre trois capteurs de température (sortie puit canadien, air extérieur, et air intérieur), et une consigne de température.
Si la température intérieure est inférieure à la consigne (il faut réchauffer) alors on active le double flux de la VMC, et on aspire l’air le plus chaud soit du puit canadien, soit de l’extérieur.
Si la température intérieure est supérieure à la consigne (il faut rafraîchir) alors on bypass le double flux de la VMC, et on aspire l’air le plus frais.
La question reste posée sur la consigne. Si c’est la même que celle du chauffage, il peut y avoir PB si par exemple le thermostat local du chauffage électrique est modifiée et si la consigne est légèrement dépassé, le système VMC va rafraîchir alors qu’on est en période de chauffe… J’essayerai sûrement de placer la consigne VMC quelques degrés plus haut que la chauffe traditionnelle de 19° pour par exemple commencer le rafraîchissement à partir de 22/23°…
On verra …
posted by Philippe at
10:07 PM
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